Alors alors que s’est il passé ces derniers temps ?

Cette histoire d’émission devient quoi ?

Dans la première newsletter, je te parlais de cette proposition d’émission pour 66 minutes (M6) qui va traiter du sujet des hommes qui gagnent moins que leurs femmes et qui le vivent bien ! Nous avions été repéré suite à notre passage dans le podcast Histoires d’argent . La journaliste est très sympa, semble très engagée pour montrer que la société évolue et donner des clés sur le sujet justement. D’ailleurs, merci pour les encouragement dans le sondage avec 95% de soutien pour le faire !

Le tournage avait déjà été décalé car le sujet avait été proposé avec deux familles : la notre et une famille dont le mari est jeune agriculteur et sa femme salariée. Je trouve personnellement leur histoire très intéressante car pour le moment l’activité agricole ne rapporte rien et ils vivent sur le salaire de la
f emme.

Malheureusement… la chaîne a refusé leur histoire et cela a donc décalé tout le sujet. De mon côté c’était quand même embêtant surtout car j’avais bloqué des créneaux de séances sur mon site et même décalé certaines. Mais bon, on décide les dates du 20) au 22 février. Entre temps, on échange sur le fait de faire potentiellement participer mes parents pour donner leur avis sur cette situation etc…

Et puis la semaine dernière, je fais une relance à la journaliste pour confirmer les dates histoire de ne pas planter à nouveau mon activité, et surtout mes clients, pour rien. Elle me dit qu’elle a réunion avec la chaine le jour même et qu’elle m’appelle après.

Nous nous retrouvons donc finalement au téléphone avec la journaliste qui m’annonce dépitée que le sujet prend un nouvel angle demandé par M6. Il reste sur la situation où un homme gagne moins que sa femme… mais il le vit mal. On discute bien sûr et elle a argumenté avec le mêmes idées que moi. Comme par exemple : suivre un foyer où ça se passe bien et un où ça se passe mal. Mais non… le clash fait + de clics et d’audience (avis personnel).

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Alors voilà, histoire terminée. Ce qui m’agace dans tout ça, ce n’est pas de ne pas passer à la télé. C’est juste qu’on va avoir droit à des représentations qui renforcent les stéréotypes de genre, qui feront croire qu’évoluer sur le sujet est mauvais et donc qui ne fournira aucune solution de fond et réflexion pour accompagner les mecs sur ce thème important qui met en jeu leur masculinité, voire leur virilité.

C’est là qu’il faut bien se rendre compte d’une chose importante : des médias comme le mien, et bien sûr d’autres podcasts indépendants, non portés par de gros studios ou avec des productions derrière… nous sommes moins visibles, certes, mais nous avons une liberté de sujet et d’expression qui est précieuse. Et ça c’est grâce à toi. Toi qui me lis, toi qui m’écoute, qui me suis sur les réseaux, qui soutien le podcast sur les plateformes d’écoute et + encore…

Alors merci du fond du coeur.

Parlons du podcast maintenant !

Avant de retrouver l’info chiffrée dans cette newsletter, je voulais te dire pourquoi j’ai décalé les épisodes en plaçant une rediffusion la semaine dernière : ben je suis sous l’eau en fait !

Cette décision pas évidente m’a permis de prendre la respiration nécessaire pour tout recaler proprement et bien programmer comme il faut avec un niveau de stress maitrisé.

Alors, entre nous hein, il y a aussi le fait que j’ai accepté un nouveau projet éditorial dans un délai très court et du coup ça me met un coup de pression jusqu’à mi-mars !

Ce que je peux te dire en tout cas c’est que fin février et mars vont apporter des épisodes hyper riches et importants et je trépigne d’impatience de les part ager.

J’ai besoin de ton avis pour Papatriarcat+

Depuis peu, je peux proposer des abonnements “One Shot” sur Papatriarcat+. Ne sachant pas trop quoi en penser, j’ai demandé en story instagram si les gens préfère payer un bon coup pour une longue période ou payer tous les mois. Et bien apparemment c’est la première option qui gagne !

Du coup, je me suis assuré que techniquement, les abonnements mensuels actuels pourront basculer sur du “One Shot”. Tout simplement car les tarifs seront + attractifs et qu’il m’est inconcevable de léser des personnes qui me soutiennent financièrement depuis la mise en place pour certaines.

Mais je bloque sur une choix : la durée. Vraiment, je ne sais pas. Je me dis que 12 mois c’est trop long. Que 6 mois personne ne le fait. Que 3 c’est juste inutile, autant prendre au mois. Alors je vais te demander ton avis et je calerai mes offres sur les résultats !

Quelle durée te semble la + adaptée ?

Papatriarcat est écouté à quelles heures ? (peu importe les jours)

Léger décalage horaire sur le graphique car l’outil de mesure n’est pas sur notre fuseau (on rajoute +2).

Sans surprise, tu peux voir un pic à l’horaire de sortie des épisodes. Ce qui est, pour moi, très interessant c’est de voir un gros pic tôt le matin (et ça c’est tous les jours).

Cela me conforte dans l’idée que le podcast est vraiment un format adapté à la parentalité, entre autres sujets, car on peut l’écouter quand on veut… et surtout quand on peut !

1 lecture et 1 docu

Spécial unschooling

Un livre

Ouvrir les yeux sur un sujet si tabou et si evident

Tu pourrais t’attendre à ce que les passionnants livres d’André Stern soient ma première recommandation, et bien non ! Ce livre de John Holt est, selon moi, la meilleure base possible pour plonger dans le monde des apprentissages autonomes et des dispositions spontanées de l’enfant. Tout simplement car il crée aussi un pont entre ce que tu as surement toi connu comme instruction et ce que tu vises ou imagines en unschooling. D’ailleurs le relire ne me ferait pas de mal !

1 documentaire

Le film qui met des étoiles dans les yeux…

…et des papillons dans le coeur. Genre vraiment ! Tu sais, le genre de docu que tu regardes et à la fin tu te dis que tu vas changer toute ta vie. Ben voilà. Clara Bellar nous fait découvrir des familles dans sa quête personnelle de réponses mais surtout de doutes sur l’IEF et sur la confiance en l’enfant que l’unschooling réclame. Merveilleux. On peut en dire aussi qu’il donne une représentation assez elitiste de l’IEF. C’est vrai et c’est clairement éloigné de la réalité des familles. Il reste tout de même excellent sur le sujet !