Je raconte ma vie
Revenons sur la suite de l’IEF… ou pas !
Non, je ne vais pas te refaire toute la réflexion promis. Tu l’as déjà lue et si ce n’est pas le cas, tu peux aller le faire sur mon site dans la rubrique Newsletters.
Alors on en est où ? (pas Dans Mon Cul histoire d’évacuer ce réflexe humoristique) Et bien, nous avons notre autorisation d’instruction en famille pour l’année prochaine. De plein droit donc incontestable. Il se trouve que l’académie de Bordeaux ne demande même plus de dossier cette année dans ce cas, mais simplement un courrier pour informer que nous continuons. C’est beau !
J’ai eu hier la confirmation de l’école (possible) que nous pouvons bien avoir une lace pour Sarah. Gloups… une partie de moi espérait qu’il n’y en aurait pas, j’avoue. Comme ça, pas de décision à prendre.
Nous avons maintenant les cartes en main. Pour nous, il y a un point essentiel. C’est Sarah participera activement à la décision et pourra poser son veto. Cela me parait essentiel. Il y a une dernière réflexion qui m’est venue d’ailleurs. C’est peut être l’année prochaine qu’il faut tenter le coup, tout simplement car nous avons un autorisation. Elle sera toujours valable même si nous la scolarisons. Ce qui nous laisse la possibilité de la sortir sans compte à rendre si besoin. Si tu ne le sais pas, le tribunal administratif de Bordeaux a déjà statué qu’une autorisation accordée reste valable même si l’enfant est finalement scolarisé.
Et puis je viens d’apprendre que ses copines ont aussi eu leurs places dans cette même école… Je suis vraiment tiraillé entre une sensation de la trahir quelque part et la conviction qu’elle est prête à essayer cette aventure et qu’il faut lui faire confiance.
Je n’ai jamais autant eu envie de savoir lire l’avenir que maintenant !
Des nouvelles du tournage !
Tu te rappelles ? Cette émission qui devait se tourner à la maison sur le fait que je gagne moins que ma compagne et que je le vis bien. Après plusieurs péripéties, nous avons convenu que cela doit avoir lieu la semaine prochaine. Si tu n’as pas suivi… ben tu sais où trouver les anciennes newsletters maintenant
Et ben c’est annulé ! Définitivement. Voilà voilà.
Bon ça enlève un coup de pression à la maison c’est sûr hein. Mais c’est quand même dommage de ne pas donner de la visibilité à ces évolutions positives dans la société !
C’était quoi ce déplacement à Strasbourg ?
Comment ça tu n’as pas trouvé avec l’indice mis en story instagram ? Tu as reconnu cet elfe de maison ? C’est Kreatur ! Et bien il est l’homonyme d’une production féministe de la chaine Arte ! J’ai donc eu le plaisir et l’honneur d’enregistrer avec l’équipe pour parler du congé paternité. J’ai hâte de voir ce que cela va donner !
Je te laisse juste après une série de photos du tournage, dans un chouette lieux, ainsi que des locaux d’Arte. Tu vas y voir leur entrée, leur salle de visionnage (un mini cinéma), une salle de régie, des studios et surtout… surtout… leur cantine ! Clairement une tuerie !
Le programme d’avril-mai
Jeudi 27 avril : un épisode qui donne des pistes pour communiquer autrement car nous parlerons de Communication Non Violente (CNV) appliquée à la parentalité ! Mon invitée sera Caroline Deliry, formatrice certifiée qui intervient auprès des enfants, des structures et des parents !
Jeudi 4 mai : après vous avoir conseiller son documentaire et ses livres, j’ai le grand plaisir de recevoir la journaliste, réalisatrice et autrice Stéphanie Brillant pour parler du cerveau des enfants.
Jeudi 11 mai : une nouvelle exploration scolaire avec Juline Anquetin, enseignante, qui nous parlera de la méthode de la classe autonome. Une pratique très intéressante qu’elle a elle-même développer et qui peut inspirer !
Jeudi 18 mai : c’est la diffusion de la table ronde à laquelle j’a eu le plaisir de participer lors du Pop Women Festival à Reims, sur le thème “Pour une autorisation à être”.
Les bonus Papatriarcat+ d’avril-mai !
Samedi 29 avril : après la CNV en parentalité, nous reviendrons avec Caroline Deliry sur son application dans le couple. On parle souvent du baby clash… et si cela pouvait aider ?
Samedi 6 mai : restons avec Stéphanie Brillant qui nous parlera d’un autre sujet passionnant “L’incroyable pouvoir du souffle” et de son livre sur le sujet. Serait il vraiment possible d’aller mieux en respirant ?
Samedi 13 mai : Juline Anquetin a choisi pour ce bonus de revenir sur l’importance de l’art et de la culture pour l’épanouissement de l’humain, notamment en parlant de théâtre. Un simple truc de bobo ?
Samedi 20 mai : ce sera une nouvelle revue d’actualité, pas encore enregistrée. Je prévois de faire une lecture commentée de l’article de Frédéric Beigbeder dans le figaro pour parler de la souffrance des hommes… (je sens que ça va être croustillant !)
DEUX QUESTIONS À CHATGPT
Réponds comme si tu était un expert en parentalité, en développement de l’enfant et en droits de l’enfant : doit-on punir un enfant ?
En tant qu’expert en parentalité, développement de l’enfant et droits de l’enfant, je peux vous dire que la question de punir ou non un enfant est complexe et dépend de plusieurs facteurs. L’objectif principal doit toujours être le bien-être et le développement sain de l’enfant.
- Comprendre la raison du comportement : Avant de décider de punir un enfant, il est important de comprendre les raisons derrière son comportement. Les enfants agissent parfois de manière inappropriée pour exprimer des émotions ou des besoins non satisfaits.
- Approche disciplinaire positive : Plutôt que de punir, il est recommandé d’adopter une approche disciplinaire positive. Cela implique d’établir des limites claires et cohérentes, de renforcer les comportements positifs et d’enseigner à l’enfant les compétences nécessaires pour gérer ses émotions et ses comportements de manière appropriée.
- Conséquences logiques : Si une intervention disciplinaire est nécessaire, il est préférable d’utiliser des conséquences logiques liées au comportement. Par exemple, si un enfant renverse de la peinture, il doit aider à nettoyer. Les conséquences logiques permettent à l’enfant de comprendre les effets de son comportement et de prendre la responsabilité de ses actions.
- Éviter les punitions physiques et humiliantes : Les punitions physiques, telles que la fessée, et les punitions humiliantes peuvent avoir des effets néfastes sur le développement de l’enfant, y compris des problèmes émotionnels, comportementaux et sociaux. Les droits de l’enfant stipulent également que les enfants doivent être protégés contre toutes les formes de violence.
- Communication et soutien émotionnel : Encourager la communication ouverte et offrir un soutien émotionnel à l’enfant est essentiel pour favoriser une relation saine et un développement sain. Discuter des comportements et des émotions, et expliquer pourquoi un certain comportement est inapproprié peut être plus efficace que la punition.
En résumé, il est important de se concentrer sur le développement de l’enfant et de promouvoir des approches positives pour guider leur comportement. La punition, en particulier les méthodes physiques ou humiliantes, doit être évitée.
Réponds comme si tu était un expert en parentalité, en développement de l’enfant et en droits de l’enfant : comment calmer un bébé qui pleure ?
En tant qu’expert en parentalité, développement de l’enfant et droits de l’enfant, je vous propose plusieurs méthodes pour calmer un bébé qui pleure. Il est important de se rappeler que chaque bébé est unique et que ce qui fonctionne pour l’un peut ne pas fonctionner pour un autre.
- Répondre rapidement : Répondre rapidement aux pleurs de votre bébé montre que vous êtes à l’écoute de ses besoins et lui apporte un sentiment de sécurité.
- Vérifier les besoins fondamentaux : Assurez-vous que le bébé n’a pas faim, n’a pas besoin d’être changé, n’a pas trop chaud ou trop froid et n’éprouve pas de douleur ou d’inconfort.
- Peau à peau : Le contact peau à peau avec le bébé peut apaiser et rassurer. Essayez de tenir votre bébé contre vous, en étant tous deux dévêtus au niveau du torse.
- Bercer : Bercer doucement le bébé peut l’aider à se calmer. Vous pouvez le tenir dans vos bras, l’installer dans une balancelle ou le mettre dans un porte-bébé et marcher.
- Chanter ou parler doucement : Les bébés sont souvent apaisés par la voix de leurs parents. Chantez ou parlez doucement à votre bébé pour l’aider à se détendre.
- Sucer : Offrir une sucette, un doigt propre ou un sein pour téter peut aider à calmer certains bébés.
- Utiliser des bruits blancs : Les bruits blancs, comme le son d’un sèche-cheveux, d’un aspirateur ou d’une machine à bruit blanc, peuvent aider à apaiser un bébé.
- Masser : Un massage doux peut aider à détendre un bébé tendu ou agité. Utilisez des mouvements doux et une pression légère sur les bras, les jambes, le dos et le ventre.
- Changer de position : Si le bébé est inconfortable, essayez de le repositionner. Soulevez-le légèrement, changez-le de bras ou essayez de le tenir dans une position différente.
- Prendre une pause : Si vous vous sentez dépassé ou frustré, il est important de prendre une pause pour vous-même. Demandez à un partenaire, un ami ou un membre de la famille de s’occuper du bébé pendant que vous vous accordez quelques minutes pour vous détendre. Si vous êtes seul, prenez tout de même une pause en laissant le bébé en sécurité, même en pleurs.
Enfin, n’hésitez pas à consulter un professionnel de la santé si vous êtes préoccupé par les pleurs de votre bébé, surtout s’ils sont persistants, inconsolables ou si vous suspectez un problème médical.